samedi 20 mai 2017

Le vide, pas de ressenti, je tombe.
Plus de larmes, je n'y arrive pas, je n'essaye plus.
Il m'a laissé là, seule avec mes démons.
Des promesses pleines de tristesse laissant un goût amer.
J'y ai cru, ça aurait pu.
Ce qui ne nous tue pas rend plus fort.
L'imortalité à porté de main.
La mort comme une utopie paisible, un but.
Toi, le fluide de ta voix me berce, tes bras m'enveloppent.
Ton odeur me transporte. Et puis plus rien. Le chaos.
Des larmes salée, et soudain libéré, un flot de souvenirs.
Je cours, je crie, j'évacue.
Changer d'air, de pays, de paradis.
Suivre le vent.

E V A  *



R I O N D E T

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